• Comment j’ai vaincu ma mycose

    Aujourd'hui, je vais aborder un sujet hyper glamour et qui touche (malheureusement) énormément de femmes, les mycoses vaginales et vulvaires. Là, je sens bien que je viens de perdre la moitié de mon lectorat, l'autre s'étant mise en PLS. Relax. J'ai publié ce billet une première fois en 2014 pour un webzine. Il m'a semblé qu'il était temps de le sortir des placards pour le dépoussiérer. 

    J'ai personnellement eu la grande chance de croiser la route des mycoses suite à un abus d'antibiotiques. Je viens d'une époque où on était moins regardant quant à leur utilisation et, suite à des angines à répétition, j'ai eu droit à un traitement de choc. On a fini par m'enlever les amygdales mot compte triple et tout est rentré dans l'ordre. Sauf que les antibiotiques à fortes doses, cela peut avoir des effets secondaires. Comme, au hasard, l’agréable et délicieuse mycose vaginale. Celle-là même qui vous donnera envie de vous arracher le clito à la truelle rouillée ou de crever avec un spéculum dans l'oreille... Et qui reviendra systématiquement. A chaque prise d’antibiotiques. Y compris ceux à spectre restreint. Cela a duré des années. Plus de 20 ans après le fameux traitement de choc. Comme quoi, il ne faut pas négliger la puissance vengeresse des amygdales pourries.

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    Je vous fais grâce des traitements médicamenteux qui vous décapent le vagin, des gels intimes qui aggravent le problème, des conseils avisés sur la lingerie des culottes en coton de mamie, tu porteras ... et de la douleur aussi ce soir j'peux pas, j'ai mycose ! 

    J'ai fini, à force de recherches, par trouver le salut dans la phytothérapie et dans des ovules à base de teinture mère d’echinacea angustifolia, de teinture mère de calendula et d’huile essentielle de laurus nobilis. Le tout en dose identique : 200 mg pour un ovule de 2 grammes. Ceux-ci peuvent être préparés directement par votre pharmacien. 

    Sans rejeter en bloc la médecine classique, je pense que quand celle-ci reste sourde aux problèmes médicaux des patients, il faut pouvoir s’adresser à d'autres professionnels de la santé et, parfois, se tourner vers les médecines douces.

    Quelques conseils pour éviter les mycoses

    • utiliser de la lingerie en coton. 
    • ne pas porter des pantalons ou des bas trop serrés
    • éviter les tampons pendant les règles. Pour moi, la cup est un must. 
    • utiliser un savon non parfumé comme, par exemple, du savon de Marseille à la glycérine. Il faut savoir qu'en fonction du ph de votre peau, un gel intime peut favoriser l'apparition de mycoses.
    • en cas de mycoses à répétition, essayez de réduire votre consommation de sucre. Un excès de sucre peut créer un terrain favorable aux mycoses vaginales. 

  • La mer et autres considérations estivales

    Cet été, nous sommes descendus passer nos vacances dans le sud de la France. Cet été, pour la deuxième fois consécutive, j'ai décidé que tout se passerait bien. Pas de prise de tête stérile, pas trop d'énervement. Et puis de toute façon, l'avantage de partir dans la famille, c'est, entre autres, de pouvoir arriver et partir quand on le souhaite. 

    Il y a eu quelques commerçants peu agréables, des remarques dont on se serait bien passé Par exemple, il faut dire aux vendeuses des Galeries Farfouillette que faire des commentaires sur les clients devant eux est particulièrement grossier... ou débile... ou les 2, des bouderies aussi les enfants sont nos amis ! Mais cette année, les voisins étaient moins bruyants que d'habitude. On a eu trop chaud, canicule oblige ! On a eu un peu de pluie aussi et on a aimé ça ! Cela a soufflé fort : du vent de terre qui rend l'air plus respirable. Et puis, le soleil, c'était gai. Le ciel bleu sans nuage, c'est plus rare dans nos contrées nordistes ! 

    J'ai reçu un mail qui ne m'a pas plu du tout. J'ai éteint mon PC et j'ai dormi dessus pas sur mon PC, sur le mail. Agir et pas réagir, c'est ce que j'ai appris en thérapie. Cela fonctionne pas mal en fait ! 

    Nous n'avons rien fait d'exceptionnel. On a mangé des glaces, des tapas, des pizzas qui n'avaient rien d'italiennes, du poisson et, puis, des churros, et des glaces. Plein de glaces. Parfois même de la glace au sable. Le sable, ça croque sous la dent. C'est un peu salé et ça donne la bouche pâteuse. C'est moins salé que l'eau de mer. Parce qu'on en a bu aussi ! Des tasses pour la poulette et des shoots pour moi ! Cette année, j'ai bu du champagne. Et puis, j'ai goûté du vin. Chez un producteur du coin. C'était comique. Je ne savais pas qu'on n'était pas obligé de finir son verre et de cracher dans un drôle de pot. Alors, j'ai bien goûté. Et j'ai eu un peu mal au crâne après. Finalement, l'eau de mer, c'est moins dangereux... 

    J'ai lu. Et acheté des livres. Et fait plein de shopping. Je ne vous ai pas dit ? Chez nous, les soldes sont terminées depuis longtemps. Je me suis même offert un livre à colorier. Des habitudes d'enfant pour cultiver sa spiritualité ! 

    J'ai essayé de méditer. Dans un élan de courage, j'ai même tenté de zapper mon médicament pour dormir. Bon, c'est encore trop tôt. C'était pas la meilleure idée de l'été ! 

    J'ai mis de belles images plein ma tête. J'ai rencontré Cathy, une chouette blogueuse. Même qu'on a pris rendez-vous en septembre. Et qu'on doit encore parler de reiki. 

    Les vacances sont finies. C'était une jolie parenthèse. Un peu comme la mer...