• Les états d'esprit du vendredi [08/06/18]

    C'est vendredi, le jour des états d'esprit !  Petit rappel pour les participants : vous pouvez rejoindre la communauté des EEV en copiant le formulaire, en le remplissant et en le partageant sur votre blog avec un lien vers mon billet et une petite phrase du genre "Les états d'esprit du vendredi by The Postman et Zenopia". Laissez-moi un commentaire que je puisse aller lire vos billets.  

    [jour Vendredi 08 juin 2018] - [heure 05:29]

    fatigue : ben il est 5h29...
    humeur :  plutôt bonne
    estomac : eau + café
    cond. phys. :  planche et yoga... pas assez à mon goût
    esprit :  tagada tsoin tsoin ! 
    boulot/projet : les "chroniques du Burn Out" sont prêtes
    culture : The Expanse (saison 3), Into the Badlands (saison 3), Westworld (saison 2), The 100. Film : Tomb Raider de Roar Uthaug. Lectures : L'homme qui voulait être heureux de Laurent Gounelle (J'ai bien aimé. Le livre se lit assez facilement, il n'est pas trop "gnangnan"... Mais cela reste un bouquin type "développement personnel" sans grande surprise), Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban avec la poulette. 

    penser à : prendre quelques rdv médicaux. J'ai procrastiné à ce niveau !
    avis perso :  les gens bêtes s'est vraiment pas des gens comme nous ^^
    loulou : voltige pour la dernière fois cette année ce soir, va avoir son bulletin, mange des glaces...
    msg pers :  bravo pour le boulot !!! 
    amitiés : tantôt en IRL et toujours sur le net
    love : c'est sa fête dimanche ! 
    sorties :  elles s'enchaînent un peu pour l'instant
    essentiel :  l'amitié, l'amour, le yoga ! 
    courses :  de quoi faire un petit repas sympa pour dimanche (et c'est la poulette qui cuisine !)
    envie de :  danser  
    ‘zic : Rob Zombie - Medication For The Melancholy

    [Fin : 06:04]

    Bonne journée les gens ! 

  • Chroniques du Burn Out

    Le Burn Out est une maladie méconnue. Tout le monde en parle mais le terme est souvent galvaudé. Il cache une souffrance réelle. Une double peine. En plus de la maladie qui ronge celui qui souffre, il y a les préjugés, les jugements. Quand vous vous cassez une jambe, quand vous avez un cancer ou quand vous subissez une opération, cela se voit. Quand vous souffrez de Burn Out, personne ne peut voir votre mal. Sauf les très proches qui souffrent avec vous de votre état.

    Vous êtes alors directement catégorisé, au moins par une partie de la population, de profiteur. Pourtant, les personnes en souffrance n’ont rien demandé. Ce sont les “bons éléments” qui craquent. Mais, tant qu’on n’a pas vécu cette situation, elle est difficile à appréhender. Parce que c’est compliqué de croire qu’un jour le corps lâche tellement l’esprit n’en peut plus. Le Burn Out est une vraie maladie. Le Burn Out, tout le monde en parle mais il faut l’avoir vécu ou vu de près pour le comprendre réellement.

    Parfois, les proches eux-mêmes ne comprennent pas et c’est d’autant plus difficile à gérer pour le malade qui doit affronter le quotidien sans soutien. Ceux-ci sont parfois déçus, se sentent impuissants ou trop impatients de retrouver la personne en souffrance telle qu’elle était avant le Burn Out. Cela représente une pression supplémentaire dont le malade préférerait se passer. 

    Il y a un avant et un après.

    Les textes des Chroniques du Burn Out sont issus de ma propre expérience mais aussi de celles de mes copains de thérapie, mes “burnies”. Ils sont fictifs mais inspirés de faits réels. J’ai voulu, à travers les mots, raconter un petit morceau de nos vies. 

    Source